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Trois fois rien
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Et moi, c'est à mon risque de peine que je connais ma joie.

Antoine de Saint-Exupéry, Sept lettres à Natalie Paley
9 juin 2015

Cimetière marin

Il y a devant chez moi des bateaux qui n'iront plus nulle part. Carcasses de bois ouvertes aux quatre vents, comme le fut autrefois la maison, elles font partie du paysage et leur lente décrépitude marque le temps qui passe. Comment en arrive-t-on là? Comment un sardinier, un doris ou un catamaran finissent-ils posés sur l'herbe, rongés par le sel et le vent? Mystère...

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Et cette campanule rebelle qui fleurit discrètement sur le muret qui fut pendant un temps notre seul point d'ancrage... ;-)

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Commentaires
M
Moi aussi: je les aime tes photos merci meci meci
C
Oups....belleS !!!
C
Vos photo sont toujours aussi belle...merci pour ce voyage le temps d'un instant...
C
Très belles harmonies en bleus et verts parsemés de lichens ou de fleurs discrètes... J'adore! Une pointe de nostalgie derrière toute cette beauté?
B
Ah que je les aime tes billets qui me font voyager, j'ai pris un bol d'air marin ce matin et que ça fait du bien !
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